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Les États-Unis ont colonisé Porto Rico en 1898 et ont depuis déployé tous leurs efforts pour écraser la lutte pour l'indépendance, ayant recours aux assassinats, aux emprisonnements et à la violence pour tenter de mater la résistance. La pauvreté imposée au pays par les États-Unis est telle que des millions de Portoricains quittent le pays pour aller vivre aux États-Unis. Une des nombreuses injustices dont Porto Rico a été victime est le fait que pendant 62 ans la marine étasunienne a malmené l'île et le peuple de Vieques, jusqu'à ce qu'elle soit enfin évincée en 2003. La population de Vieques souffre toujours des conséquences des essais d'armements qui y ont eu lieu, dont des taux d'incidence de cancer 30 % plus élevés qu'ailleurs au Porto Rico liés aux essais d'armes à l'uranium affaibli. Une fois de plus, ce printemps, le
Comité spécial de l'ONU sur la
décolonisation a réaffirmé
qu'il fallait mettre fin au statut colonial de
Porto Rico. Le Comité spécial
discute de cette question depuis 40 ans, et il a
adopté 32 résolutions en ce
sens, les 14 résolutions les plus
récentes ayant été
présentées par Cuba et
adoptées par consensus. Le plus
récent projet de résolution a
été présenté par Cuba
avec la participation du Venezuela, de la Bolivie,
de l'Équateur et du Nicaragua. Le
représentant de Cuba au sein du
comité a fait valoir qu'il y avait eu peu
de progrès pour en arriver à une
solution, mais que néanmoins
115 années de colonialisme
étasunien n'avaient pas réussi
à « mater la volonté et
la culture du peuple portoricain ou à
détruire son identité ou son
appartenance nationale ».
Informant le Comité spécial
des récents développements dans les
relations de Porto Rico avec les
États-Unis, Juan Dalmau du Parti de
l'indépendance portoricaine a dit que
l'événement récent le plus
significatif avait été le
référendum de novembre 2012. Avec
une participation de 74 %, 54 % de la
population avait rejeté le soutien au
statut actuel de commonwealth. En dépit de
ce « rejet sans
équivoque » du colonialisme, le
gouvernement des États-Unis continue de
défendre ce même colonialisme. Le
thème le plus fréquent
émanant de pétitions
présentées au comité est
celui exigeant la libération des
prisonniers politiques portoricains, dont Lopez
Rivera, qui est incarcéré depuis
maintenant plus de 32 ans, dont 12 en
isolement.
Oscar Lopez Rivera, à qui on a dédié l'anniversaire commémoratif de Grito de Lares cette année, a été condamné à 55 ans de prison en août 1981. Il a été le seul de 13 prisonniers politiques à avoir rejeté une offre de libération de la part du président de l'époque, Bill Clinton. Il avait rejeté l'offre parce que deux autres camarades avaient été exclus de l'entente et il a donc décidé de purger le reste de sa peine. En fin de compte, douze personnes ont été relâchées et les deux personnes dont Lopez Rivera exigeait la libération ont depuis été libérées. Lopez Rivera satisfait aux conditions de sa libération telles que contenues dans l'offre de clémence mise de Clinton. Les patriotes portoricains et les personnes aspirant à la justice et à la paix partout dans le monde soutiennent que Lopez Rivera n'aurait jamais dû être accusé ou incarcéré et qu'il devrait être libéré sur-le-champ. À l'occasion de l'anniversaire de Grito de Lares, LML salue Oscar Lopez Rivera et le mouvement pour l'indépendance portoricaine et appelle tout le monde à s'informer au sujet de cette importante lutte.
Le prisonnier politique Oscar Lopez Rivera
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Montréal, 12 septembre 2013 |
Loin d'être découragés, abattus ou terrassés, les cinq héros ont refusé de se soumettre. Ils sont demeurés fermes et ont refusé d'abandonner leurs principes, des principes forgés et profondément enracinés dans l'histoire révolutionnaire cubaine. En tant qu'incarnation de Cuba, ils représentent le meilleur de la lutte indomptable de l'humanité pour la justice et la paix. Alors que Washington espérait les reléguer à l'oubli, les peuples du monde ont pris en mains la cause de gagner la liberté de chacun de ces patriotes cubains. Ensemble, ces cinq héros - Fernando González Llort, René González Sehwerert, Antonio Guerrero Rodríguez, Gerardo Hernández Nordelo et Ramón Labañino Salazar - sont des symboles internationaux de la lutte pour l'autodétermination, l'indépendance et la dignité humaine.
Kamloops, 14 septembre 2013 |
Les Canadiens se sentent interpellés par la cause des cinq héros et sont outrés de leur incarcération injuste pour avoir simplement défendu leur patrie contre une agression. Partout au Canada une série d'événements et d'activités se déroulent dans le cadre de la campagne internationale pour marquer le 15e anniversaire de l'emprisonnement injuste des cinq héros et exiger leur libération immédiate. À Toronto, un rassemblement a eu lieu devant le consulat américain appelant à la libération des Cinq. En Colombie-Britannique, Vancouver, Nanaimo, Kamloops et Bowen Island seront l'hôte d'événements, dont un rassemblement devant le consulat américain à Vancouver et plusieurs activités culturelles et éducatives. Ces actions reflètent la détermination résolue de briser le mur du silence et de désinformation que les autorités américaines cherchent à imposer autour de cette lutte courageuse.
Dans un monde qui est poussé au bord de la guerre, face à des calamités qui menacent le bien-être de l'humanité, les cinq héros nous rappellent qu'il existe d'autres moyens par lesquels les relations humaines et les sociétés peuvent être organisées. Cela a galvanisé la solidarité internationale et le mouvement d'amitié envers Cuba qui vont demander jusqu'à la fin la liberté des Cinq cubains.
Libérez les Cinq Cubains maintenant!
Voilà aujourd'hui quinze ans, le 12 septembre 1998, que cinq arrestations brutales opérées simultanément, ont brisé nos foyers et ouvert l'un des chapitres les plus honteux de l'histoire juridique des États-Unis : le procès engagé contre nous, qui sommes connus maintenant comme les Cinq.
L'arrestation et le procès des Cinq resteront gravés dans l'histoire comme l'un des épisodes les plus ignominieux et les plus sordides des relations entre les États-Unis et Cuba. Quelques mois plus tôt, les bons offices du prix Nobel de littérature, dont Gabriel García Márquez, avaient permis d'ouvrir les portes à une coopération marquante entre les deux pays dans la lutte contre le terrorisme. En juin de cette année-là, une délégation du FBI s'était rendue en visite à Cuba et, après avoir reçu une copieuse information sur les activités terroristes organisées impunément contre l'île depuis Miami, avait promis à sa contrepartie cubaine d'entreprendre des actions à ce sujet.
Portant un coup bas à l'administration William Clinton, le FBI, au lieu d'appréhender les terroristes, arrêta et conduisit devant les tribunaux ceux — nous — qui collectaient des informations pour éviter les dommages qu'ils causaient à la population cubaine. Le système judiciaire étasunien fut utilisé ouvertement comme un moyen pour protéger les terroristes, au point que nous comparûmes devant un jury apeuré, dans un climat de lynchage. On recourut à de cruelles conditions de mise au secret pour nous briser et pour nous empêcher de préparer dûment notre défense. Le mensonge s'empara de la salle d'audience.
On falsifia, on endommagea ou on supprima des preuves. On se moqua ouvertement des instructions de la juge. On menaça publiquement de prison les terroristes cités comme témoins par la défense s'ils ne recouraient pas aux bénéfices du Cinquième Amendement contre l'auto-incrimination. Tout ceci face à une presse qui avait choisi de maintenir le peuple étasunien dans l'ignorance la plus absolue, tandis que le siège du procès était impitoyablement soumis à un barrage de propagande contre les accusés.
Le 8 juin 2001, un jury qui en était arrivé à exprimer sa peur devant le harcèlement de la presse locale, - laquelle, on le sut plus tard, avait été grassement payée par l'administration étasunienne — nous déclara coupable de tous les chefs d'accusation, et même d'un au sujet duquel le parquet avait reconnu auparavant, dans une motion d'urgence adressée à la cour d'appel d'Atlanta, qu'il ne disposait pas d'assez de preuves pour emporter un verdict de culpabilité.
La conduite déplorable des procureurs, des juges et de l'administration étasunienne à ce procès ne sont pas un hasard. Il est impossible de se comporter d'une manière éthique quand, pour atteindre un but auquel la haine politique se mêle à l'arrogance personnelle et à la vengeance, on instruit des chefs d'accusation qu'on ne peut ensuite défendre qu'en se moquant des lois et en recourant à la prévarication et à l'abus de pouvoir. Le cercle vicieux ouvert par la décision politique de nous écraser sous plusieurs chefs d'accusation, dont les plus graves étaient fabriqués de toutes pièces pour nous contraindre à transiger, ne pouvait que se refermer sur la conduite toujours plus méprisable des procureurs.
Mais nous n'avons pas transigé, parce qu'un déploiement de force brutale ne signifie pas que celui qui l'exerce possède la morale requise. Nous n'avons pas transigé parce que le prix du mensonge pour combler les attentes des procureurs nous semblait trop dégradant. Nous n'avons pas transigé parce qu'impliquer Cuba — la nation que nous protégions — dans des accusations fallacieuses pour grossir le dossier de l'administration étasunienne contre l'île aurait été une trahison impardonnable contre le peuple que nous aimons. Nous n'avons pas transigé parce que les valeurs humaines restent encore pour nous un bien précieux sur lequel repose la transformation de l'homme en un être meilleur. Nous n'avons pas transigé parce que cela voulait dire renoncer à notre dignité, source d'estime de soi et d'amour propre pour n'importe quel humain.
Au lieu de transiger, nous avons accepté le procès. Un procès qui, si on en avait parlé, aurait mis en doute non seulement notre cas particulier, mais l'ensemble du système de justice des États-Unis. Si ce qui se passait dans cette salle d'audience n'avait pas été escamoté au peuple étasunien, auquel nous n'avons jamais fait ni tenté de faire le moindre tort, il aurait été impossible de monter cette parodie de justice transformée en cirque romain.
Quinze années se sont écoulées durant lesquelles l'administration étasunienne et le système de justice de ce pays ont fait la sourde oreille aux réclamations d'organismes des Nations unies, d'Amnistie International, de plusieurs Prix Nobel, de parlementaires ou de parlements au complet, de personnalités et d'institutions juridiques et religieuses. Seule la levée de cet autre blocus, celui qu'on a imposé au peuple étasunien pour qu'il ignore tout, permettrait de voir naître l'espoir que cesse cette injustice.
Aujourd'hui, l'île de Cuba apparaîtra couverte de rubans jaunes. Le peuple cubain sera le protagoniste de ce message qui recourt à un symbole devenu traditionnel pour le peuple étasunien. Pour ceux qui se sont acharnés avec tant de succès à dresser un mur de silence autour de ce cas, ce sera un énorme défi que d'empêcher le monde d'être informé de ce fait probablement inédit : un peuple tout entier décorant son pays pour demander à un autre d'exiger que son gouvernement libère ses enfants injustement incarcérés.
Entre temps, nous les Cinq, nous continuerons de mériter ce déploiement massif d'affection ; nous continuerons d'être de dignes fils du peuple solidaire et généreux qui en est le protagoniste, et d'être dignes de l'appui de ceux qui, tout autour du monde, se sont joints à notre cause ; nous continuerons de dénoncer cette injustice qui remonte déjà à quinze ans, et nous ne céderons jamais d'un iota l'avantage moral qui nous a permis de résister et de même de grandir, tout en supportant le poids de la haine vindicative de la part du gouvernement le plus puissant de la planète.
Gerardo, Ramón, Antonio, Fernando et René
Ramón Labañino, un des Cinq cubains, qui ont été arrêtés le 12 septembre 1998 à Miami, en Floride, a récemment exprimé sa gratitude pour toute la solidarité que ces prisonniers politiques ont reçue à l'occasion du 15e anniversaire de leur emprisonnement aux États-Unis.
« Ces derniers jours, a dit Labañino, nous avons ressenti une immense joie et une immense fierté en recevant les expressions d'amour et d'appui de notre île bien aimée et de partout sur la planète. »
« Il n'y a pas de doute que nous les Cinq sommes privilégiés d'avoir tant de soeurs et de frères de presque tous les courants politiques et des secteurs du sport, de l'art et de la science », a-t-il ajouté.
Labañino a été nommé Héros de la République de Cuba, de concert avec ses camarades Gerardo Hernández, Antonio Guerrero, Fernando Gonzalez et René Gonzalez.
« Nous sommes tous unis dans cette noble cause qui nous dépasse tous. Pour Cuba! Aujourd'hui, demain et pour toujours! », écrit-il dans son message.
Labañino a d'abord été condamné à perpétuité plus 18 ans, et par après, en 2009, sa sentence a été ramenée à 30 ans. L'injustice persiste toujours, avait-il déclaré à ce moment-là, de pair avec Antonio Guerrero et Fernando Gonzalez qui avaient reçu eux aussi une deuxième sentence.
C'est Gerardo Hernández qui a reçu la sentence la plus sévère de toutes ( une double sentence de prison à vie plus 15 ans), tandis que René Gonzalez est maintenant à Cuba après avoir complété sa sentence et avoir été privé de sa citoyenneté américaine.
Des groupes de défense des droits humains, des parlementaires et des personnalités de divers domaines dont 10 lauréats du Prix Nobel ont demandé la libération des Cinq cubains. Plus récemment, un panel de l'ONU a conclu que leur détention était arbitraire et a demandé au gouvernement américain de mettre fin à cette injustice.
Voici des vidéos et des photos de certaines des actions tenues à Cuba, au Canada et aux États-Unis, où les rubans jaunes symboliques sont en évidence partout, représentant le désir des peuples du monde épris de paix et de justice de voir les héros cubains bien aimés retourner en sécurité dans leur patrie.
Un gala et un concert en l'honneur des Cinq ont
été donnés à la Havane
le 12 septembre 2013. Y étaient
présents des dignitaires cubains dont le
président Raúl Castro et d'autres
membres du Conseil des Ministres, René
Gonzalez, le seul des Cinq qui a recouvré
sa liberté, et les familles des cinq
héros. Plusieurs autres
événements ont été
tenus à Cuba.
Des actions pour briser le silence autour des
Cinq cubains ont été tenues
à travers le Canada et se poursuivent
dans les semaines qui viennent (voir plus bas).
Le Comité de Vancouver pour la
libération des Cinq a intensifié
son travail en tenant 7 actions en 4 jours
à Vancouver, Kamloops, Nanaimo et le
premier événement pour les Cinq
cubains à avoir été tenu
sur l'Île Bowen.
(Prensa Latina; Photos: LML, Free the Cuban Five Committee-Vancouver; Free the Five Committee-Toronto; CubaDebate)
Calendrier d'événements
« Le peuple cubain occupe une place spéciale dans le coeur des peuples d'Afrique. Les internationalistes cubains ont fait une contribution à l'indépendance, la liberté et la justice en Afrique qui est sans pareil par sa défense des principes et son altruisme. » - Nelson Mandela, 26 juillet 1991
Le symposium « La guerre inconnue de l'Afrique : la terreur de l'apartheid, Cuba et la libération de l'Afrique australe » commémorera le 25e anniversaire de la bataille de Cuito Vuanavale, un jalon important dans la lutte pour l'indépendance et l'autodétermination africaines, marquant la défaite décisive en Angola des forces armées racistes de l'État de l'apartheid sud-africain par les troupes cubaines et angolaises. Cette défaite entraînait l'indépendance immédiate de la Namibie et accélérait de ce fait la chute du régime raciste en Afrique du Sud. Or, ces événements et le rôle considérable et crucial de Cuba dans la lutte contre l'apartheid sud-africain demeurent à toute fin pratique inconnus en Occident. L'autre oublié est la guerre de terreur menée par le régime de l'apartheid dans la région, qui donne le contexte de l'intervention cubaine.
Le symposium a lieu à l'auditorium William Doo, au 45, rue Willcocks, Université de Toronto. Il comptera parmi ses participants des auteurs et des activistes de Cuba et d'ailleurs qui étaient présents lors de ces événements d'il y a 25 ans. L'événement débute à 19 h le vendredi 27 septembre avec la projection du film Patrias es humanidad suivie d'un panel avec questions et réponses et une réception. Le lendemain, le samedi 28 septembre, le programme se poursuit de 8 h 30 à 17 h avec une série de panels et de présentations sur les thèmes suivants : La guerre de terreur de l'apartheid : le terrorisme régional et la campagne de déstabilisation de l'Afrique du Sud de l'apartheid; Cuba et la libération de l'Afrique australe : Regard sur la contribution internationaliste de Cuba à la lutte contre l'apartheid; et La bataille de Cuito Cuanavale et le legs de la lutte de libération nationale.
Des troupes internationalistes cubaines luttant aux côtés du peuple angolais en 1980
Les troupes internationalistes cubaines luttent avec le peuple angolais, 1980 |
Au nombre des participants au programme:
* Jorge Risquet, chef de la diplomatie cubaine en Afrique des années 1970 aux années 1990;
* John Saul, spécialiste internationalement acclamé et respecté des questions de l'Afrique australe et militant contre l'apartheid;
* Silvio Baro, spécialiste de la politique étrangère de Cuba et ancien membre de la mission cubaine en Angola;
* Piero Gleijeses, spécialiste de la politique étrangère des États-Unis à l'université Johns Hopkins;
* Prexy Nesbitt, ancien représentant du Mouvement populaire de libération nationale de l'Angola aux États-Unis.
L'événement est commandité par : Réseau canadien pour Cuba; Programme d'études caribéennes, Université de Toronto; Chaire James-Robinson-Johnston en études de l'histoire des Noirs au Canada, Université Dalhousie; A Different Booklist; Groupe de recherche et d'initiative sur la libération de l'Afrique
Pour de plus amples renseignements veuillez communiquer avec Isaac Saney (isaney@hotmail.com, 902-494-1531); Melanie Newton (melanie.newton@utoronto.ca, 416-978-4053); Miguel san Vincente (adifferentbooklist@rogers.com, 416-538-0889)
La Table de concertation de solidarité Québec-Cuba travaille présentement à la campagne « Un mois pour les Cinq », pour marquer le 15e anniversaire de l'emprisonnement injuste des cinq héros cubains. Ces efforts aideront à briser le silence entourant les Cinq et à faire en sorte que justice soit faite. Le piquetage du 12 septembre a été une réussite, tout comme le visionnement du film « Mission contre la terreur ».
La Table désire également informer ses membres et amis que la 9e édition de la Journée montréalaise d'amitié avec Cuba n'aura pas lieu. Ceux qui désirent participer aux préparatifs de la 10e édition l'année prochaine peuvent contacter la Table à journeeamitie@gmail.com. La planification et l'organisation débutent maintenant pour assurer le succès de l'édition 2014. Venez nous rejoindre!
L'Institut cubain d'amitié avec les peuples (ICAP) appelle tous les amis de Cuba à participer au 9e Colloque pour la libération des Cinq Cubains et contre le terrorisme.
Le 9e colloque se tient du 13 au 17 novembre dans la province de Holguin et les participants vont y concentrer leurs efforts sur le retour à Cuba des quatre patriotes qui sont maintenant en prison aux États-Unis depuis plus de 15 ans.
Les participants vont loger à la chaîne d'hôtels ISLAZUL dans la ville de Holguin. Le déjeuner dans les chambres simples et doubles et le transport aux activités du colloque sont compris dans le forfait.
Pour plus d'information, contacter par courriel
l'organisation-hôte à l'adresse
suivante:
icaphlg@icap.cu or icaphlg.politico@icap.cu
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Marxiste-Léniniste
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