Une femme dirigeante des années soixante

En tant que jeune femme militante dans les années 1960, avec tant d'autres, je cherchais un moyen de changer la situation : pour lutter contre les injustices subies par les femmes, les travailleurs et les étudiants ; mettre fin aux guerres d'agression contre le Vietnam, le Cambodge et l'Amérique latine ; pour créer un monde meilleur. Nous avons mis sur pied Étudiants pour une université démocratique, Vancouver Liberation Front, Red Collective, Partisan. Certains d'entre nous ont organisé des syndicats pour améliorer les conditions de travail et des organisations de libération des femmes pour lutter pour l'émancipation des femmes. Nous cherchions les moyens de faire une percée fondamentale. Et, pour moi, ce n'est que lorsque j'ai rencontré Hardial Bains et que beaucoup d'entre nous ont commencé à se renseigner sur le travail et les aspirations du Parti que les choses ont changé. J'étais inspirée par l'engagement du Parti à chercher la vérité dans les faits, cette compréhension qui exigeait un acte de participation consciente, l'acte de découvrir. Et, comme le Parti l'a fait à chaque moment important depuis, pour nous cela ouvrait la voie vers l'avant, la voie de l'unité des marxistes-léninistes, ce qui a mené au regroupement des militants, au renforcement du mouvement, et capturé les efforts de nombreux jeunes, étudiants et travailleurs.

C'est cette capacité à assurer un leadership théorique et pratique qui a placé le Parti au premier plan du mouvement progressiste ; et cela continue d'ouvrir la voie à chaque étape pour créer un espace permettant à la classe ouvrière et au peuple de se faire entendre mais aussi de créer, par leur propre programme et initiative, un monde qui réponde vraiment aux besoins et aux aspirations de ceux qui y vivent.


Cet article est paru dans

Volume 50 Numéro 19 - 2 avril 2020

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