Reportage photo sur des actions partout dans le monde du 10 au 17 mars
Ottawa, le 16 mars
CANADA
Région de la capitale nationale
Le 13 mars, une manifestation s'est tenue à Ottawa dans le cadre de la journée d'action mondiale Arrêtons le monde pour Gaza. Les manifestants se sont rassemblés au Monument pour les droits de personne et ont marché sur l'avenue Laurier, s'arrêtant et bloquant l'intersection de l'avenue Laurier et de la rue Nicholas pour dénoncer les atrocités de l'entité sioniste qui intensifie la torture et la famine forcée du peuple palestinien la veille du ramadan. Ils ont également dénoncé la complicité du Canada dans le génocide et réitéré que les gens de conscience refusent d'être complices de ces crimes. Ils ont demandé un cessez-le-feu immédiat, la fin du génocide et un embargo sur les armes à destination d'Israël.
13 mars
Deux jours plus tard, le 16 mars, pour la 23e semaine consécutive depuis le début du génocide en cours à Gaza, près de 3 000 personnes ont à nouveau manifesté dans les rues d'Ottawa. Des familles avec leurs enfants, des jeunes et des personnes âgées, tous ont défilé avec la ferme conviction que leur voix compte et que la justice pour la Palestine doit prévaloir et prévaudra.
Au Monument pour les droits de la personne, un porte-parole du Mouvement de la jeunesse palestinienne a déclaré : « Depuis 160 jours, nous assistons à un génocide qui a coûté la vie à plus de 30 000 Palestiniens et nous savons que ce chiffre est plus proche de 40 000, car des corps sont encore coincés sous les décombres. Cette semaine encore, nous avons assisté à un nouveau 'massacre à la farine' au cours duquel les forces sionistes ont ouvert le feu sur des Palestiniens qui attendaient de l'aide. Ces crimes de guerre sont diffusés dans le monde entier, tandis que les gouvernements occidentaux, notre gouvernement, continuent de fermer les yeux et d'encourager ce génocide. »
Il a rappelé à tous la résistance et la force inébranlables des Palestiniens, qui continuent de résister et de lutter pour leur liberté, leurs droits, leur fierté et leur dignité. Il a poursuivi en déclarant « Nous nous réunissons ici pour assumer notre rôle dans la lutte de libération palestinienne, pour exiger des actions et nous opposer au sionisme, ici même, sur l'île de la Tortue. En tant que Palestiniens de la diaspora, nous ne sommes pas seulement solidaires de nos frères et soeurs en Palestine, nous nous battons sur un autre front, ici, au coeur de l'empire, dans le ventre de la bête. Nous avons une responsabilité envers la population de Gaza qui paie le prix le plus élevé et le plus grand sacrifice pour notre libération collective. Nous exigeons un cessez-le-feu permanent, nous exigeons le retrait total des forces sionistes de Gaza, la fin du siège de Gaza qui dure depuis 17 ans, la libération totale de notre peuple, de notre terre et une Palestine libre du fleuve à la mer. »
Le porte-parole du Mouvement de la jeunesse palestinienne a terminé en disant : « Ce lundi [18 mars], une motion sera présentée à la Chambre des communes appelant à un embargo sur les armes à destination d'Israël. C'est pourquoi il est essentiel que nous demandions à nos députés de rendre des comptes et que nous exigions qu'ils soutiennent cette motion. »
16 mars
Nouvelle-Écosse
Halifax
Le 16 mars, près de 400 jeunes, étudiants et travailleurs se sont rassemblés sur les Terrains de la garnison à Halifax pour mobiliser, discuter du génocide en cours en Palestine et marcher dans les rues pour exiger un cessez-le-feu et la fin de l'occupation et du génocide en Palestine. Le rassemblement a commencé comme toutes les autres fois : une femme pakistanaise a souhaité la bienvenue à tout le monde en scandant : Humanité, soit la bienvenue ! au milieu d'acclamations et de poings levés.
Après que quelques orateurs se soient adressés aux participants, tout le monde est descendu dans la rue avec des pancartes bien en vue et des drapeaux flottant au vent et prêt à scander : À bas la machine de guerre des États-Unis, de la Palestine aux Philippines ! Yémen, Yémen, tu nous rends fiers, empêche un autre navire de passer ! Gaza, Gaza, tu te lèveras, Halifax est avec toi ! Du fleuve à la mer, la Palestine vivra à jamais ! Pas un sou pour le génocide ! Le peuple uni jamais ne sera vaincu !
Les marcheurs ont passé par le centre-ville de Halifax, où des commerçants, des travailleurs et des Haligoniens sont sortis, le poing dans les airs, reprenant les slogans à leur tour. Le fait que des jeunes enfants distribuaient des dépliants aux passants en a inspiré plus d'un. Au cours du trajet, les marcheurs s'arrêtaient pour écouter des orateurs ou des prestations. Cette fin de semaine, Jenn Grant, une chanteuse et compositrice de Halifax, a chanté sa nouvelle chanson Hello Everyone (Ceasefire Now !) accompagnée de son partenaire et ami. Tout le monde a chanté le refrain : Personne n'est libre sans que tout le monde soit libre ! Cessez-le-feu maintenant ! La chanson est disponible sur Youtube et met en vedette plus de 35 musiciens du Canada, de l'Australie et du Royaume-Uni.
La prochaine oratrice était une jeune femme juive. Elle a parlé avec force : « Je ne permettrai pas que la souffrance et la douleur de mes ancêtres servent à imposer l'oppression et la terreur. Ma famille n'a pas survécu aux pogroms et à la persécution pour que moi je ne dise mot pendant que les Palestiniens subissent le même déchirement et la même agonie. [...] Nous avons une obligation morale en tant que Juifs de lutter pour la libération de tous les peuples opprimés, et surtout de lutter contre ceux qui cherchent à le faire en notre nom. C'est ainsi que nous résistons. Nous résistons en nous épaulant, Juifs et Palestiniens ensemble, en refusant la haine et l'endoctrinement que le sionisme tente de nous inculquer. Nous ne résistons pas seuls, mais unis. »
Plus loin dans le trajet, il y a eu d'autres chansons, dont la
chanson suédoise Leve Palestina (Vive la Palestine) et
une très belle chanson par une jeune Micmac. Les rassemblements
réunissent un grand nombre de jeunes et d'étudiants, dont des
étudiants de l'Université Dalhousie. Au rassemblement de la
semaine dernière, un étudiant palestinien a dit : « Je
comprends que plusieurs d'entre vous vous sentez dépourvus en
tant qu'étudiants et citoyens ordinaires qui vivent à des
milliers de miles de Gaza. Mais ce n'est pas le cas pour tout le
monde. Car nous, le peuple, avons la capacité de perturber,
d'organiser et d'agir. » Il a parlé des trois principales
revendications de la société civile palestinienne, adoptées en
2005 : 1) mettre fin à l'occupation et à la colonisation de
toutes terres arabes; 2) reconnaître les droits humains
fondamentaux des citoyens arabo-palestiniens d'Israël et 3)
respecter, protéger et promouvoir le droit des réfugiés
palestiniens de retourner à leurs terres et leurs maisons tel
que stipulé dans la résolution 194 des Nations unies.
Il a terminé en disant : « Ensemble, nous ne fléchirons jamais dans notre quête de justice, sans égard à la race ou aux croyances [...] Les Palestiniens sont les victimes, c'est vrai, cependant nous refusons, refusons d'être la victime parfaite. Car nous ne réagirons pas à cette subjugation sans rien faire, nous ne nous laisserons pas faire. Nous ferons autant de bruit que possible ! Et si nous sommes défaits, ce ne sera pas sans se battre ! À bas l'occupation ! Vive la Palestine ! »
16 mars
Québec
Rimouski
17 mars
Montréal
Pendant plus d'une heure et demie, l'après-midi du 14 mars, des manifestants ont fait un piquetage dans la rue, face à l'entrée principale de l'hôtel du Vieux-Montréal où la ministre des Affaires étrangères du Canada, Mélanie Joly, devait prendre la parole avec d'autres membres du cabinet Trudeau à l'occasion d'une collecte de fonds libérale. Parmi eux, le ministre des Transports Pablo Rodriguez et le ministre de l'Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté Marc Miller. Les participants au piquet de grève tenaient des pancartes et des bannières demandant que le Canada prenne position et dénonce les crimes génocidaires d'Israël contre la population de Gaza. Ils ont scandé : « Libérez, libérez la Palestine ! », « Joly, Joly, tes mains sont souillées de sang ! » et « Trudeau, Trudeau, choisis ton camp, justice ou génocide ! » et plus encore.
Quatre jours auparavant, Mélanie Joly avait rencontré le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, où, selon Affaires mondiales Canada, elle a « a réitéré la position de longue date du Canada selon laquelle Israël a le droit d'exister et de se défendre conformément au droit international ». Aucun des ministres n'a osé se présenter devant les manifestants, préférant entrer en voiture dans le stationnement souterrain de l'hôtel.
À la fin du piquetage du 14 mars, des activistes des arrondissements voisins de Ville-Marie et d'Hochelaga-Maisonneuve ont continué à manifester dans les rues du Vieux-Montréal.
14 mars
Le 17 mars, parmi les 800 manifestants de la marche hebdomadaire en soutien à la Palestine qui se sont adressés à la foule, un représentant du Mouvement de la jeunesse palestinienne a dénoncé cette soi-disant aide humanitaire à Gaza par voie maritime, mise en place par les États-Unis, le Canada et l'Union européenne. Il a déclaré que les gens allaient découvrir les véritables raisons de ce dernier stratagème.
« Nous n'avons pas cessé de descendre dans la rue, de hisser notre drapeau, de parler en faveur de la Palestine, où que nous soyons. Notre peuple à Gaza n'est pas seulement confronté à un génocide, il est confronté à une famine de masse par le régime israélien avec le soutien total des États-Unis d'Amérique, avec le soutien total de notre propre gouvernement canadien », a-t-il déclaré.
« Notre gouvernement canadien ne nous représente pas, il ne représente pas le peuple, ni nos demandes. Il ne représente que les intérêts de l'élite dirigeante, de la classe politique. [...] Ils veulent détruire la volonté de notre peuple, parce que nous nous battons, nous résistons. Nous continuerons à nous battre jusqu'à la libération totale et jusqu'au retour complet de chaque réfugié palestinien. Nos exigences sont très claires. Nous voulons un cessez-le-feu immédiat et permanent, et la libération de tous les prisonniers palestiniens des prisons sionistes, chacun d'entre eux », a-t-il déclaré.
« Nous voulons mettre fin à ce projet colonial étranger appelé sionisme dans notre région. Et nous voulons mettre fin à toute complicité canadienne et occidentale dans cette occupation, dans ce génocide », a-t-il ajouté.
« Je tiens à vous rappeler que nous sommes la voix du peuple, nous sommes les ambassadeurs de la voix de Gaza, de la Cisjordanie, de toutes les personnes opprimées sur cette planète », a-t-il conclu.
D'autres ont attiré l'attention de la foule sur le fait que 12 étudiants de l'Université McGill ont entamé une grève de la faim depuis 28 jours. « Ils ont pris sur eux de faire une grève de la faim, depuis avant le ramadan, et certains d'entre eux ont fait une grève de la faim indéfinie sans nourriture ni eau, tandis que d'autres n'ont eu que de l'eau, de l'eau saline », a déclaré l'une d'entre eux. Elle a dénoncé l'hypocrisie de l'administration de McGill qui fait des déclarations sur les grévistes de la faim, sur l'inquiétude pour leur santé et leur dit qu'ils devraient arrêter pour leur propre santé et sécurité. « C'est la même administration qui reste complètement silencieuse sur ce qui se passe à Gaza pour les gens qui n'ont ni nourriture, ni eau, ni électricité. Ces étudiants en grève de la faim exigent que l'Université McGill mette fin à sa complicité avec toutes les institutions et entreprises israéliennes et sionistes complices de cette occupation ! L'administration de McGill a même refusé de rencontrer les grévistes de la faim », a-t-elle ajouté.
Une autre personne qui s'est adressée à la foule a déclaré : « Nous avons une situation dans ce pays où il existe un accord commercial avec Israël qui permet aux produits d'entrer en provenance de la Cisjordanie occupée sans payer de droits de douane. Le plus grand scandale, la plus grande contribution canadienne à la Palestine et à la dépossession, quelque chose qui ne reçoit pratiquement aucune attention, est le fait qu'il y a des centaines d'organisations, d'organismes de bienfaisance enregistrés dans ce pays qui amassent plus d'un quart de milliard de dollars par an pour des projets en Israël. Cette somme est subventionnée par l'ensemble des contribuables canadiens. Et certaines de ces organisations soutiennent directement l'armée israélienne, les organisations racistes en Israël, les colonies de peuplement en Cisjordanie, en violation du droit national. »
Il a conclu en disant que nous serons présents partout où ces politiciens iront. « Ces derniers jours, vendredi, à Toronto, Justin Trudeau a dû s'enfuir par une sortie arrière parce qu'il y avait trop de manifestants lors d'une collecte de fonds. À Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick, la collecte de fonds de Pierre Poilievre a été perturbée.
Avant de commencer la marche, les organisateurs ont rappelé à
tout le monde de venir le samedi 23 mars à 14 heures à Montréal
pour une grande manifestation et une marche pour la Palestine
organisée par des organisations propalestiniennes au Québec.
17 mars
Ontario
Toronto
Le 15 mars, avec un court préavis, des centaines de personnes se sont rendues à l'hôtel King Edward, au centre-ville de Toronto, pour y dénoncer le premier ministre Justin Trudeau pour sa lâcheté et son soutien au génocide israélien contre le peuple palestinien, soutenu par les États-Unis, qui lui ont valu le surnom de « Justin le génocidaire ». Trudeau était l'invité d'un dîner de collecte de fonds du Parti libéral où le prix du billet était de 1725 $ par personne et de 825 $ pour les moins de 35 ans. L'argent ira dans les coffres du Parti libéral pour les prochaines élections fédérales en 2025. La manifestation animée était appelée par le Mouvement de la jeunesse palestinienne, Toronto4Palestine et d'autres.
Des policiers en formation de combat, dont deux rangées de policiers à cheval, se tenaient derrière les barricades érigées pour bloquer les entrées de l'hôtel, pour permettre à Justin Trudeau d'entrer dans l'hôtel par une porte latérale.
Les manifestants ont continué à scander des slogans qui ont été entendus sur un grand périmètre autour de l'hôtel, notamment : Hé Trudeau, tu ne peux pas te cacher, nous t'accusons de génocide, Hé Trudeau, choisis ton camp, justice ou génocide, Du fleuve à la mer, la Palestine sera libre, Du fleuve à la mer, la Palestine vivra éternellement.
Les jeunes qui menaient les chants ont souligné qu'il était inadmissible que Trudeau et les libéraux organisent un banquet alors que les Palestiniens sont confrontés à la campagne de bombardement et de famine la plus brutale qui soit, qui vise à les anéantir et qui a fait plus de 30 000 morts.
Ils ont également souligné l'héroïsme des Palestiniens en précisant que rien n'empêchera le peuple palestinien de remporter la victoire et d'affirmer son droit au retour.
Les jeunes organisateurs ont remercié tous les Torontois qui,
depuis près de 160 jours, viennent soutenir la population de
Gaza et le peuple palestinien qui font face aux crimes les plus
odieux des forces américano-israéliennes. Ils ont noté que cette
unité avec les Palestiniens et l'unité du monde entier avec la
Palestine ont aidé à maintenir la résistance et que, quelles que
soient les difficultés, le peuple palestinien l'emportera sur
les sionistes et leurs alliés tels que les États-Unis et le
Canada, et que la complicité du Canada dans ce génocide sera
exposée chaque fois que Trudeau ou tout autre sympathisant
sioniste du gouvernement se montrera en public, qu'il n'y aura
pas de « retour à la normale » pour eux.
Piquetage à l'extérieur de la collecte de fonds libérale à
laquelle participait Justin Trudeau, le 15 mars
16 mars
Sudbury
16 mars
Windsor
L'après-midi du 11 mars, les étudiants de l'Université de Windsor et leurs alliés ont organisé un « die-in » dans l'aire commune de la Faculté de droit Ron W. Ianni. L'objectif était d'obtenir le soutien des étudiants, de la faculté et de l'administration pour la campagne de Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS) contre Israël, étant donné qu'une résolution à cet effet allait être soumise à l'Alliance des étudiants de l'Université de Windsor.
L'un des participants a lu un discours condamnant la complicité
du Canada dans le génocide en cours à Gaza et a demandé au
gouvernement d'agir conformément à l'ordre émis par la Cour
internationale de justice de remplir ses obligations en vertu de
la Convention sur le génocide et conformément au droit
international. Les institutions canadiennes, y compris les
universités et leurs facultés de droit, ont le devoir légal et
moral de contribuer à ce que le Canada rende des comptes,
a-t-elle déclaré. Elle a appelé en particulier la faculté de
droit de l'université de Windsor à respecter ses engagements en
matière de justice sociale, de décolonisation, de remédier aux
injustices historiques et de mettre fin au racisme
institutionnel. Elle a ensuite invité l'université à se joindre
aux étudiants en participant au mouvement BDS, un moyen de faire
progresser la justice en faisant pression sur Israël pour qu'il
respecte le droit international et mette fin à son nettoyage
ethnique et à ses crimes de guerre. Elle a également appelé les
universitaires à jouer leur rôle dans leurs salles de cours et
dans leurs disciplines afin de défendre la justice pour la
Palestine et de discuter de la crise humanitaire qui a été
imposée à la population de Gaza. Dans les campus du pays, les
étudiants et les membres du corps professoral participent
activement à des campagnes visant à affirmer leur droit à
soutenir la Palestine, à rompre les liens académiques,
financiers et institutionnels qui soutiennent l'occupation
israélienne, alors que de nombreuses universités mènent
également des recherches liées à la production de guerre.
Le 17 mars, un rassemblement et une marche ont eu lieu dans le
centre-ville de Windsor. Les slogans scandés lors de la marche
comprenaient « Résistance au génocide : nous la défendons
avec toute notre fierté ! », « La résistance est
justifiée lorsque votre terre est occupée ! », « Nous
devons
nous battre de toutes nos forces pour des droits humains
fondamentaux ! », « Libérez, libérez la Palestine !
» et « Cessez-le-feu maintenant ! »
17 mars
Alberta
Edmonton
17 mars
Calgary
17 mars
Colombie-Britannique
Vancouver
Piquetage à la Banque Scotia et une marche, le 15 mars, pour
exiger qu'elle continue à se désinvestir du fabricant d'armes
israélien Elbit.
Randonnée à vélo pour la Palestine, le 16 mars
Davis Bay
17 mars
ÉTATS-UNIS
Washington, DC
12 mars
New York, New York
Manifestation contre les ventes illégales de terres
palestiniennes, 14 mars
Boston, Massachusetts
Interruption de la conférence de l'American Medical Association,
16 mars
Chicago, Illinois
16 mars
Minneapolis, Minnesota
15 mars
San Francisco, Californie
Blocage du portique de sécurité à l'aéroport, 13 mars
Hollywood, Californie
Manifestation devant les Oscars, le 10 mars
EUROPE
Angleterre
Londres
15 mars, devant le 10 Downing Street
Woolwich
16 mars
Glasgow, Écosse
16 mars
Cardiff, Pays de Galles
Le 13 mars, la bannière « Nommer les morts » encercle le
parlement gallois.
Irlande
Dublin
16 mars
Limerick
16 mars
Mullingar
17 mars
Belfast
17 mars
France
Paris
16 mars
Toulouse
11 mars
Pays Basque, Espagne
17 mars
Groenland, Danemark
17 mars
Îles Féréo, Danemark
17 mars
Reykjavik, Islande
12 mars
Helsinki, Finlande
16 mars
Bruxelles, Belgique
17 mars
Utrecht, Pays-Bas
Chaussures pour les enfants tués à Gaza, 17 mars
Berlin, Allemagne
16 mars
Tirana, Albanie
17 mars
ASIE
Sanaa, Yémen
15 mars
Amman, Jordanie
13 mars
Manama, Bahreïn
17 mars
Séoul, Corée
17 mars
Tokyo, Japon
16 mars
AMÉRIQUE LATINE ET CARAÏBES
Mexique
Mexico
17 mars
Leon
16 mars
Puebla
17 mars
San Jose, Costa Rica
17 mars
Santiago, Chili
17 mars
OCÉANIE
Australie
Melbourne
13 mars
14 mars
Le 16 mars
Cet article est paru dans
Volume 54
Numéro 19 - 20 mars 2024
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