Reportage photo: du 20 au 26 janvier

Les actions en appui à la Palestine se poursuivent partout dans le monde


Sanaa (Yémen), 26 janvier

CANADA
 
Région de la capitale nationale

Plus de 1 000 personnes ont convergé vers le Monument des droits de la personne à Ottawa le dimanche 21 janvier, bravant le froid pour marcher pour Gaza après 107 jours consécutifs de génocide et de crimes de guerre contre le peuple palestinien.

Un orateur a fait le bilan de la situation tragique à Gaza. Quatre pour cent de la population de Gaza a été soit tué, blessé ou disparu, plus de 25 000 personnes ont été tuées, 62 000 blessées et 7 000 disparues; 60% des maisons de Gaza ont été détruites. Toutes les universités de Gaza ont été détruites et 70% des écoles ont aussi été détruites et 1,9 millions de Palestiniens ont été déplacés à Gaza. Ces gens sont menacés par la famine, le froid hivernal de Gaza, les maladies et les bombardements des forces terroristes d'Israël.

Il a dit : « Nous sommes atterrés de voir que le Canada appuie toujours l'apartheid, après 107 jours et 75 ans de terrorisme contre les Palestiniens, et de voir le gouvernement canadien faire partie d'une coalition avec les États-Unis et d'autres pays qui bombardent le Yémen. Nous sommes toujours ici, 107 jours plus tard, 15 semaines plus tard, et nous exigeons toujours un cessez-le-feu, nous demandons toujours que le gouvernement canadien arrête de financer le génocide, qu'il arrête d'appuyer les guerres au Moyen-Orient et nous condamnons toujours Israël pour ses crimes terroristes contre les Palestiniens. Nous appelons à ce que l'aide d'urgence puisse entrer par toutes les frontières de Gaza immédiatement. [...] Nous avons aussi vu que des pays dans le monde ont pris position pour Gaza après 107 jours, les plus récents étant le Chili et le Mexique, qui demandent que la Cour pénale internationale enquête sur les crimes d'Israël contre le peuple de Gaza. »

Les marcheurs se sont ensuite dirigés d'un pas ferme vers l'ambassade des États-Unis où ils se sont arrêtés pour dénoncer l'appui des États-Unis et leur financement direct du génocide d'Israël contre le peuple palestinien ainsi que le bombardement du Yémen par les États-Unis. Les gens ont ensuite marché dans le marché By comme ils le font depuis 15 fins de semaines, peu importe les conditions, pour exiger que ce génocide prenne fin immédiatement.


21 janvier

Iqualuit

21 janvier

Halifax


Janvier 24

Québec
 
Rimouski


Montréal

Dans l'après-midi du 21 janvier, des centaines de personnes se sont rassemblées au centre-ville de Montréal, comme elles l'ont fait au cours des quinze dernières semaines, avec des drapeaux palestiniens, des pancartes et des bannières, au cours de la journée la plus froide de l'année.

L'un après l'autre, les orateurs ont réaffirmé l'appel des peuples du monde à un cessez-le-feu immédiat à Gaza et à la fin du génocide israélien du peuple palestinien.

L'un des jeunes du Mouvement de la jeunesse palestinienne (PYM) a déclaré : « Du fleuve à la mer. Nous sommes ici, cent six jours après le début du génocide. Et nous savons que cette guerre prendra fin. Et notre peuple reconstruira Gaza. Nous savons que notre peuple finira par être victorieux. Chaque jour depuis le début de cette guerre a brisé l'image et l'illusion d'Israël et du monde occidental.

« Lorsque nous nous présentons ici à Montréal, ce n'est pas seulement pour envoyer un message à nos frères et soeurs de Gaza que nous ne les abandonnerons jamais. C'est aussi pour envoyer un message à l'occupant et à tous ceux qui la soutiennent. Et pour dire que nous continuerons à dénoncer les mensonges et l'hypocrisie de cette machine de guerre mondiale, où que nous soyons.

« À notre peuple inébranlable de Gaza, nous vous remercions d'avoir ouvert les yeux du monde entier. Et nous continuerons à nous battre ici même, dans l'antre de l'empire, jusqu'à ce que le monde entier soit libéré du sionisme. Et nous saluons les courageux peuples du Liban et du Yémen, qui affrontent l'occupation et protègent le berceau de la libération.

« Nous continuerons à nous battre jusqu'à ce que la justice prévale et que la Palestine soit libre. Viva, Viva, Palestina ! Viva Gaza ! »

Une autre porte-parole du PYM a également déclaré à la foule : « Au 106e jour du génocide perpétré par le régime sioniste contre notre peuple à Gaza, nous nous mobilisons pour notre peuple, nos terres, nos prisonniers et nos martyrs.

« Depuis le 7 octobre, plus de 24 000 Palestiniens sont tombés en martyrs, et des milliers d'autres ont été blessés, portés disparus ou piégés sous les décombres. Malgré cela, nos journalistes, nos médecins, nos enseignants, nos sauveteurs, nos parents et notre juste résistance nous adressent ce message, à nous et au monde entier : ‘Gaza vivra ! Gaza vivra grâce à la volonté de notre peuple ! Gaza vivra grâce à la force de la résistance ! Gaza vivra !'

« Et ce n'est pas grâce aux politiciens corrompus, aux fonctionnaires d'État et aux entreprises qui ferment les yeux sur le génocide qui est télévisé sous nos yeux. Les élus de Montréal, du Québec et du Canada sont coupables de ce génocide et de cette occupation. Ce pays est partenaire du génocide du peuple palestinien, un génocide qui dure depuis 75 ans.

« Le monde occidental et le Canada sont le moteur de cette machine génocidaire et son économie est tachée du sang palestinien. Chaque année, le gouvernement canadien continue d'envoyer des milliards de dollars de nos impôts à Israël et à son entité sioniste dans le cadre de contrats d'armement. Ces armes sont fabriquées dans notre arrière-cour par des entreprises telles que Lockheed Martin, qui profitent de la vie des martyrs palestiniens. Leurs bombes, leurs chars d'assaut et leurs avions de chasse sont les mêmes que ceux utilisés pour bombarder sans pitié notre peuple à Gaza. La semaine dernière encore, l'occupation a utilisé ces armes pour bombarder l'hôpital du complexe médical Nasser à Khan Younès, le seul hôpital encore en état de marche à Gaza, où se réfugiaient des milliers de Palestiniens à la recherche d'un traitement et d'un refuge.

« Amis et camarades, c'est pour cela que nous sommes ici dans le froid, parce que nous refusons de continuer à alimenter la machine de guerre du Canada, ou toute économie qui accumule ses richesses en vendant des armes de destruction et de mort à l'entité sioniste. Jour après jour, nous continuerons à perturber le flot des profits de ceux qui s'enrichissent du sang de nos martyrs. Nous savons que le sionisme est un projet mondial et notre rôle dans la lutte est de l'atteindre directement dans l'antre de la bête.

« Il est important pour nous de continuer à parler en faveur de la Palestine et de ne jamais reculer devant la crainte de la répression et de l'intimidation. Nous devons continuer à descendre dans la rue, à nous organiser localement, à nous éduquer, à construire des écoles de responsabilité politique, à boycotter, à appeler au désinvestissement et à refuser de tolérer le statu quo jusqu'à ce que la Palestine soit libre. Et lorsque nous nous montrons semaine après semaine, malgré le froid, malgré le temps qui passe, nous affrontons nous aussi l'occupation. Nous participons nous aussi au mouvement de libération de la Palestine, du fleuve à la mer. Gloire à nos martyrs et en avant vers la victoire ! Vive la Palestine ! »

Elle a été suivie par le dernier orateur, un réfugié palestinien dont la soeur vit en Palestine.

« Aujourd'hui, c'est la quinzième semaine, a-t-il déclaré. Et le génocide se poursuit contre notre peuple à Gaza. Et vous pouvez voir la douleur. Si je vous dis que toutes les heures, alors que nous sommes ici, 14 civils de notre peuple sont tués, toutes les 20 minutes, une mère ou une soeur est tuée. Toutes les 15 minutes, l'occupation brise le coeur de parents en tuant un enfant. Alors que nous manifestons aujourd'hui pendant environ trois heures, nous parlons de 12 enfants qui seront tués à la fin de cette marche.

« Nous parlons de 9 soeurs, 9 femmes qui seront tuées à la fin de cette manifestation. Mais l'esprit qui vous anime, frères, soeurs et amis, nous motive vraiment à continuer. Notre peuple se bat en notre nom au nom de la dignité de chaque être humain qui a le droit de vivre libre. Et nous sommes ici, depuis notre emplacement, pour continuer à être la voix de la vérité."

« Notre rôle ici n'est pas facile. Nous avons un devoir envers eux, un devoir d'agir. Nous devons continuer à avancer. Nous n'avons pas le temps de nous reposer devant l'ampleur des sacrifices, le nombre de personnes accablées là-bas. Nous n'avons pas le temps de faire une pause. La douleur est permanente, elle est forte et n'est pas facile. La douleur que nous endurons, que nous vivons, ne peut absolument pas être oubliée. Nous avons donc le devoir de continuer et de sensibiliser le public à ce qui se passe.

« Imaginez la souffrance de nos concitoyens là-bas, où il n'y a ni nourriture, ni eau, ni médicaments, ni carburant, ni électricité. Si un enfant demande à sa mère de lui donner une gorgée d'eau à boire, celle-ci lui chuchote à l'oreille que ‘toi, en tant que Palestinien, ils commettent des crimes de guerre contre toi en bloquant l'eau, la nourriture, les médicaments et l'électricité. Toi, en tant que Palestinien, il devrait y avoir des lois internationales pour te garantir cette vie, mais en réalité, le monde ne te donnera pas de réponse parce que si tu demandes, il ne répondra pas [...]'. Par la suite, la mère dira à son enfant que ‘tu dois élever la voix et aller te battre pour ton droit à vivre avec intégrité'.

« Aujourd'hui, nous sommes ici par moins 17 degrés Celsius. J'ai des enfants. Nous avons des soeurs. Nous avons des bébés. Et nous continuons à nous battre depuis 15 semaines, malgré le froid, malgré le temps, malgré la lutte.

« Malgré tout, cet esprit montre que nous sommes vraiment humains et que nous défendons le droit des peuples à résister. Nous défendons le droit des peuples à vivre dans la dignité. La Palestine est devenue un symbole. Ils ont essayé de nous effacer de la terre. Ils ont essayé d'effacer l'esprit de Gaza de la terre. Mais je peux vous assurer, en vous observant, frères, soeurs et amis, que de mon coeur à votre coeur, la Palestine est désormais dans le coeur de chacun d'entre nous. La Palestine est devenue un symbole de liberté partout dans le monde. Il n'a jamais été facile pour nous de continuer [...] Nous ne faisons pas cela parce qu'ils ont besoin de nous. Nous le faisons parce que nous devons le faire pour rester en vie en tant qu'êtres humains. Libérez la Palestine ! Libérez la Palestine ! »

Les participants sont ensuite descendus dans la rue, scandant des slogans tout en marchant vers le centre-ville. Des applaudissements nourris ont résonné parmi la foule à chaque fois que les gens, depuis leurs balcons, agitaient des drapeaux palestiniens depuis leur immeuble résidentiel. La marche s'est poursuivie pendant une heure et demie et s'est terminée devant le consulat des États-Unis, d'où ont fusé les slogans « Libérez, libérez la Palestine ! », « Du fleuve à la mer, la Palestine sera libre ! », « De la mer au fleuve, la Palestine vivra pour toujours ! » et « Nous ne sommes pas fatigués, nous avons Gaza à libérer ! » qui ont résonné dans la rue commerciale achalandée.






21 janvier

Ontario
 
Toronto

Des milliers de personnes ont participé au rassemblement et à la marche organisés à Toronto le 21 janvier, dans le cadre des actions hebdomadaires en cours pour exiger un cessez-le-feu et la fin du génocide américano-israélien contre la population de Gaza et de la Cisjordanie. Lors du rassemblement qui a débuté devant Union Station, les organisateurs du Mouvement de la jeunesse palestinienne ont commencé par remercier tout le monde pour leur soutien indéfectible, en venant semaine après semaine, dans le froid glacial, pour soutenir les Palestiniens. Ils ont remercié le peuple du Yémen de s'être opposé sans crainte aux États-Unis et à la Grande-Bretagne pour se ranger aux côtés de ses voisins palestiniens. Ils ont remercié les peuples d'Iran, du Liban et des autres pays arabes pour leur soutien. Ils ont rendu hommage à l'Afrique du Sud pour son soutien et pour avoir traduit Israël devant la Cour internationale de justice pour génocide contre le peuple palestinien. Les organisateurs ont également reconnu et célébré leurs liens étroits avec les peuples opprimés, y compris les peuples autochtones et d'autres qui sont confrontés au même système impérialiste mondial.

Après avoir scandé vigoureusement des slogans tels que « Un cessez-le-feu maintenant ! », « Du fleuve à la mer, la Palestine sera bientôt libre ! », « Gaza, Gaza ne pleure pas, la Palestine ne mourra jamais ! » et d'autres, les participants à la marche se sont dirigés vers le nord, s'arrêtant à divers endroits, notamment devant la Banque Scotia et d'autres supporteurs du régime israélien, avant de revenir au point de départ. Les organisateurs ont remercié tout le monde et ont appelé tout le monde à informer leurs amis, collègues et autres pour qu'ils se joignent aux actions dans les jours et semaines à venir.




21 janvier

Plus tôt dans la journée, la police de Toronto a mis fin à une manifestation sur la passerelle piétonnière de Roncesvalles qui enjambe l'autoroute Gardiner. Depuis des semaines, des manifestants munis de drapeaux et de bannières bordent la passerelle afin d'être vus par les automobilistes qui entrent et sortent de la ville. Des actions similaires ont eu lieu sur d'autres viaducs de la ville. Les policiers, qui étaient plus nombreux que les manifestants, les ont menacés d'arrestation, affirmant qu'ils agissaient sur ordre du chef de la police de Toronto, Myron Demkiw, et qu'aucune manifestation n'était autorisée sur les viaducs, pour des raisons de sécurité.

Le samedi précédent, la police de Toronto avait arrêté trois manifestants sur le pont Avenue Road/401, après que le chef de la police de Toronto eut annoncé, le 11 janvier, que toutes les manifestations à cet endroit étaient interdites. Cette mesure faisait suite à une visite du premier ministre Trudeau au chef Demkiw, le 10 janvier, au cours de laquelle, selon le compte X du premier ministre, « ils ont discuté de la récente augmentation des incidents antisémites à Toronto et de leur engagement commun à assurer la sécurité des résidents de la ville. »

Windsor




21 janvier

Alberta
 
Calgary

Le modérateur du rassemblement a commencé par dire que l'Afrique du Sud avait « présenté la voix la plus convaincante et la plus puissante [sur le fait qu'Israël commet] un génocide dont nous serions témoins de notre vivant ». Je salue également les camarades du Yémen, qui ont enseigné au monde la signification de la vraie solidarité par leur intervention humanitaire pour appeler à la fin du génocide dans la bande de Gaza. En fait, c'est le Yémen qui a peut-être joué le rôle le plus important en dehors du territoire de la Palestine occupée. C'est le peuple qui a subi le blocus et la famine pendant sept ans dans ce qui était, jusqu'au lendemain de l'attaque d'Israël sur Gaza, la pire crise humanitaire du monde. Ils ont décidé de renverser la vapeur face à la puissance hégémonique mondiale et d'appliquer leur propre blocus en réaction à la politique des États-Unis à l'égard d'Israël, qui consiste à affamer la population de Gaza.

« Les déclarations du premier ministre Trudeau et de la ministre des Affaires étrangères Mélanie Joly indiquent que le Canada ne soutient pas les prémisses de la cause sud-africaine, a-t-il poursuivi. Ils sont incapables d'identifier les arguments de l'Afrique du Sud qu'ils désapprouvent, et refusent de répondre ou d'aborder le fond de l'affaire », a-t-il ajouté.

« Soyons clairs. L'Afrique du Sud affirme, preuves à l'appui, que les actions d'Israël constituent un génocide à l'encontre du peuple palestinien de Gaza, que les dirigeants politiques et militaires d'Israël ont exprimé une intention génocidaire et que des mesures conservatoires sont nécessaires pour mettre un terme aux actions d'Israël. Il semble que le Canada soit en train d'abandonner la responsabilité qui lui incombe en vertu de la Convention sur le génocide. Aucun pays n'est exempté de l'interdiction du génocide. Nous demandons au Canada de soutenir pleinement la demande de l'Afrique du Sud, a-t-il déclaré. Au jour 107, nos exigences sont toujours les suivantes : cessez-le-feu, nourriture, eau, carburant, fournitures médicales, retrait total des territoires occupés et droit au retour. Le Canada, entre autres, ne peut pas dicter qui représente les Palestiniens. »

Un porte-parole de Voix juives indépendantes a déclaré, en faisant référence aux pays qui ont défendu la légitime défense d'Israël devant la récente Cour internationale de justice, qu'il ne laisserait pas l'Allemagne ou les États-Unis lui dire ce qu'est un génocide – l'Allemagne où un génocide a été commis contre les Juifs et les États-Unis qui ont rejeté des milliers de réfugiés juifs fuyant l'Allemagne nazie. Je ne laisserai pas le Canada me dire ce qu'est un génocide alors qu'il continue à commettre un génocide sur ce territoire et qu'il permet à des nations autochtones entières de ne pas avoir d'eau potable et de vivre dans des conditions les plus indignes.

Un membre du Calgary Palestine Council (CPC) a pris la parole lors du rassemblement. Il a indiqué qu'en 107 jours, il y a eu 500 meurtres de personnes ayant des membres de leur famille dans la ville de Calgary. « Il y a trois ans, les résidents de Calgary ont manifesté pour une personne, comme l'ont fait des gens partout aux États-Unis et dans le monde, pendant des mois à cause de la violence de l'État. Il s'appelait George Floyd. Deux ans plus tard, nous avons manifesté à Calgary pour les 215 enfants retrouvés enterrés sur le terrain d'un pensionnat pour nos frères et soeurs autochtones. Qu'est-ce qui vous fait penser que nous ne marcherions pas pour les 10 000 enfants qu'ils ont tués au cours des trois derniers mois ? Qu'est-ce qui vous fait croire que nous allons rentrer chez nous ? Nous ne rentrerons pas chez nous tant que chaque Palestinien ne pourra pas rentrer chez lui... Nous ne rentrerons pas chez nous tant que les habitants de Gaza ne rentreront pas chez eux, mais aussi tant que tous les Palestiniens [déplacés] depuis 75 ans ne rentreront pas chez eux. Six millions de Palestiniens ont vécu partout dans le monde à cause du génocide israélien.

Il a conclu en déclarant que nous nous tenons aux côtés du peuple libre du Yémen. Aux mères de Gaza, nous disons que vos enfants sont la génération de la libération.

La porte-parole de Justice for Palestinians a décrit en détail tout le travail accompli par Justice for Palestinians et d'autres organisations qui se tiennent aux côtés de la Palestine, par exemple le déploiement de bannières, l'action du compte à rebours lors de la veille du Nouvel An sur le pont de la paix, tant d'actions, dont une femme qui a parrainé plusieurs séances d'écriture de lettres, au cours desquelles 1 850 lettres ont été rédigées. Elle a déclaré que les gens s'expriment sans crainte et a appelé les gens à continuer à marcher et à poursuivre toutes les actions, car en s'additionnant les vagues peuvent se transformer en tsunami. L'ensemble des participants au rassemblement ont ensuite marché jusqu'au bâtiment fédéral, puis sont revenus à l'hôtel de ville pour une nouvelle séance de micro ouvert très animée.




21 janvier

Colombie-Britannique
 
Coquitlam

 

ÉTATS-UNIS
 
Dallas, Texas





23 janvier

Los Angeles, Californie



22 janvier

Oakland, Californie


Le 26 janvier, actions devant le tribunal fédéral alors que les Palestiniens portent plainte contre le gouvernement américain pour sa complicité dans le génocide à Gaza.

EUROPE
 
Londres, Angleterre


22 janvier

Copenhague, Danemark


21 janvier

Stockholm, Suède


21 janvier

Prague, République tchèque




20 janvier

Marseille, France




21 janvier

Athènes, Grèce


25 janvier

ASIE
 
Yémen

Sanaa



26 janvier
Saada


26 janvier

Amman, Jordanie

24 janvier

Diyarbakir, Turquie


23 janvier

Tokyo, Japon




AMÉRIQUE LATINE
 
San Salvador, Salvador


24 janvier

La Paz, Bolivia

25 janvier

OCÉANIE
 
Melbourne, Australie

21 janvier

22 janvier
23 janvier


Cet article est paru dans
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Volume 54 Numéro 7 - 26 janvier 2024

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