Cuba
Le peuple cubain célèbre une patrie vivante, unie et victorieuse
En conformité avec les conditions de santé et
sécurité pendant la pandémie, l'événement central
du Premier Mai à Cuba a été célébré cette année
par un simple commémoration sur la Place de la
Révolution José Marti à La Havane, rapporte Granma.
Parmi ceux présents, le premier secrétaire du
Parti communiste de Cuba et président de la
République Miguel Diaz-Bermudez, le premier
ministre Manuel Marrero Cruz et des membres du
Parti, du Bureau politique, du gouvernement et du
mouvement des syndicats.
Après que l'hymne national a été joué et le héros
national honoré avec des roses blanches, le membre
du Bureau politique et secrétaire général de la
Centrale des travailleurs de Cuba, Ulises Guilarte
Nacimiento, a félicité les travailleurs de la
nation pour leur détermination et leur
contribution critique à la construction d'une
patrie vigoureuse, unie et victorieuse.
« Félicitations aux travailleurs ! Ce qui a été
accompli pour survivre à la pandémie dans le cadre
d'un blocus renforcé, et malgré tout de pouvoir
avancer, est monumental. Un peuple travailleur et
créatif comme le nôtre mérite toute notre
reconnaissance », a tweeté le président Miguel
Diaz-Canel, à cette occasion.
Les travailleurs et les familles cubains ont
célébré le Premier Mai en virtuel, sur les réseaux
sociaux et lors de petits rassemblements en
conformité avec les mesures de santé et sécurité,
réaffirmant le soutien du peuple à la révolution
cubaine et à sa lutte continue pour l'égalité et
la justice sociale.
La sortie d'une nouvelle chanson
Une nouvelle chanson, Un Eco de Banderas (Un écho
de drapeaux), est sortie à l'Occasion du Premier
Mai. L'auteur-compositeur Arnaldo Rodriguez et son
orchestre Talisman se joignent à d'autres
musiciens cubains célèbres dans un hommage à la
détermination du peuple cubain à aller de l'avant,
à travailler fort et à surmonter toutes sortes de
défis, tout en défiant la tentative des États-Unis
de le mettre à genoux. Comme le dit le refrain, «
Aquí no hay marcha atrás/Aquí la timba está
'cerrá' ». (« Ici, il n'y a pas de retour en
arrière/Le casino est 'fermé' ici »).
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Cet article est paru dans
Volume 51 Numéro 11 - 13 mai 2021
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