Réunion publique Zoom/Conférence de presse le 10 août
Les travailleurs accidentés de l’Ontario exigent d’être consultés sur les modifications apportées au régime d’indemnisation
Frappés une fois au sol – Les travailleurs accidentés sont indignés !
Mardi 10 août à 10 h
Organisé par le Groupe de soutien des travailleurs accidentés de Thunder Bay et du district
Pour participer via Zoom, cliquer ici.
ID de la réunion : 864 4448 8750
Aussi diffusé en direct sur Facebook.
Tout le monde est invité à participer à cet événement. Après la présentation, il y aura une séance de questions et réponses pour les médias, puis une séance de questions et réponses pour le public. Veuillez partager cette information avec le plus grand nombre de personnes.
Le Groupe de soutien des travailleurs accidentés de Thunder Bay et du district demande au gouvernement de l’Ontario de tenir des consultations publiques ouvertes avant de procéder à des modifications à la Loi sur la sécurité professionnelle et l’assurance contre les accidents du travail.
Le ministère du Travail a annoncé la fin d’un processus de consultation qui n’a duré que 26 jours, au milieu de l’été, concernant les changements législatifs proposés au régime d’indemnisation des travailleurs. Outre la courte période de temps allouée pendant laquelle de nombreuses personnes sont absentes, le ministère a caché l’avis de cette consultation aux travailleurs accidentés et au mouvement syndical.
Les modifications législatives visent à déterminer ce qu’il faut faire du « surplus » de six milliards de dollars accumulé par la Commission de la sécurité professionnelle et de l’assurance contre les accidents du travail (CSPAAT). Le ministère du Travail propose de commencer à envoyer des chèques aux employeurs sans se soucier de réparer les torts causés aux travailleurs accidentés au cours de la dernière décennie, notamment en réduisant leurs prestations et en refusant leurs demandes.
Les travailleurs accidentés demandent au gouvernement d’insister pour que la CSPAAT « abolisse toutes les pratiques préjudiciables aux travailleurs accidentés ou malades et remplisse ses obligations législatives » et que le « surplus » soit utilisé pour améliorer la vie des travailleurs accidentés, et non comme une ristourne pour les employeurs.