Chant de la solidarité
En avant et n’oublions rien
De ce qui fait notre force !
Qu’on mange ou qu’on ait faim
En avant et n’oublions jamais : la solidarité !
Debout peuple de cette Terre,
Unissez-vous dans ce but,
Qu’elle devienne maintenant vôtre
Et votre grande rassembleuse.
En avant et n’oublions rien
De ce qui fait notre force !
Qu’on mange ou qu’on ait faim
En avant et ne jamais oublier : la solidarité !
Noir, blanc, brun,
Jaune! Cessons nos disputes !
Discutons d’abord entre peuples,
Il n’y en aura bientôt plus qu’un
En avant et n’oublions rien
De ce qui fait notre force !
Qu’on mange ou qu’on ait faim
En avant et ne jamais oublier : la solidarité !
Si nous voulons y arriver vite,
D’abord, nous avons besoin de toi et toi.
Qui laisse les autres tomber
Se laisse lui-même tomber.
En avant et n’oublions rien
De ce qui fait notre force !
Qu’on mange ou qu’on ait faim
En avant et ne jamais oublier : la solidarité !
Nos maîtres, quels qu’ils soient,
Voient avec plaisir nos disputes
Car tant que nous nous séparerons
Ils resteront nos maîtres.
En avant et n’oublions rien
De ce qui fait notre force !
Qu’on mange ou qu’on ait faim
En avant et ne jamais oublier : la solidarité !
Prolétaires de tous les pays,
Unissez-vous et vous serez libres
Vos puissants régiments
Renversent toute tyrannie !
En avant et n’oublions rien
Et posons la bonne question
À propos de faim ou de manger
Demain, à qui appartient demain ?
Monde, à qui appartient le monde ?
Unissez-vous dans ce but,
Qu’elle devienne maintenant vôtre
Et votre grande rassembleuse.
En avant et n’oublions rien
De ce qui fait notre force !
Qu’on mange ou qu’on ait faim
En avant et ne jamais oublier : la solidarité !
Noir, blanc, brun,
Jaune! Cessons nos disputes !
Discutons d’abord entre peuples,
Il n’y en aura bientôt plus qu’un
En avant et n’oublions rien
De ce qui fait notre force !
Qu’on mange ou qu’on ait faim
En avant et ne jamais oublier : la solidarité !
Si nous voulons y arriver vite,
D’abord, nous avons besoin de toi et toi.
Qui laisse les autres tomber
Se laisse lui-même tomber.
En avant et n’oublions rien
De ce qui fait notre force !
Qu’on mange ou qu’on ait faim
En avant et ne jamais oublier : la solidarité !
Nos maîtres, quels qu’ils soient,
Voient avec plaisir nos disputes
Car tant que nous nous séparerons
Ils resteront nos maîtres.
En avant et n’oublions rien
De ce qui fait notre force !
Qu’on mange ou qu’on ait faim
En avant et ne jamais oublier : la solidarité !
Prolétaires de tous les pays,
Unissez-vous et vous serez libres
Vos puissants régiments
Renversent toute tyrannie !
En avant et n’oublions rien
Et posons la bonne question
À propos de faim ou de manger
Demain, à qui appartient demain ?
Monde, à qui appartient le monde ?
Jaune! Cessons nos disputes !
Discutons d’abord entre peuples,
Il n’y en aura bientôt plus qu’un
En avant et n’oublions rien
De ce qui fait notre force !
Qu’on mange ou qu’on ait faim
En avant et ne jamais oublier : la solidarité !
Si nous voulons y arriver vite,
D’abord, nous avons besoin de toi et toi.
Qui laisse les autres tomber
Se laisse lui-même tomber.
En avant et n’oublions rien
De ce qui fait notre force !
Qu’on mange ou qu’on ait faim
En avant et ne jamais oublier : la solidarité !
Nos maîtres, quels qu’ils soient,
Voient avec plaisir nos disputes
Car tant que nous nous séparerons
Ils resteront nos maîtres.
En avant et n’oublions rien
De ce qui fait notre force !
Qu’on mange ou qu’on ait faim
En avant et ne jamais oublier : la solidarité !
Prolétaires de tous les pays,
Unissez-vous et vous serez libres
Vos puissants régiments
Renversent toute tyrannie !
En avant et n’oublions rien
Et posons la bonne question
À propos de faim ou de manger
Demain, à qui appartient demain ?
Monde, à qui appartient le monde ?
D’abord, nous avons besoin de toi et toi.
Qui laisse les autres tomber
Se laisse lui-même tomber.
En avant et n’oublions rien
De ce qui fait notre force !
Qu’on mange ou qu’on ait faim
En avant et ne jamais oublier : la solidarité !
Nos maîtres, quels qu’ils soient,
Voient avec plaisir nos disputes
Car tant que nous nous séparerons
Ils resteront nos maîtres.
En avant et n’oublions rien
De ce qui fait notre force !
Qu’on mange ou qu’on ait faim
En avant et ne jamais oublier : la solidarité !
Prolétaires de tous les pays,
Unissez-vous et vous serez libres
Vos puissants régiments
Renversent toute tyrannie !
En avant et n’oublions rien
Et posons la bonne question
À propos de faim ou de manger
Demain, à qui appartient demain ?
Monde, à qui appartient le monde ?
Voient avec plaisir nos disputes
Car tant que nous nous séparerons
Ils resteront nos maîtres.
En avant et n’oublions rien
De ce qui fait notre force !
Qu’on mange ou qu’on ait faim
En avant et ne jamais oublier : la solidarité !
Prolétaires de tous les pays,
Unissez-vous et vous serez libres
Vos puissants régiments
Renversent toute tyrannie !
En avant et n’oublions rien
Et posons la bonne question
À propos de faim ou de manger
Demain, à qui appartient demain ?
Monde, à qui appartient le monde ?
Unissez-vous et vous serez libres
Vos puissants régiments
Renversent toute tyrannie !
En avant et n’oublions rien
Et posons la bonne question
À propos de faim ou de manger
Demain, à qui appartient demain ?
Monde, à qui appartient le monde ?
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